Revue de presse ivoirienne du 3 août 2022. les préparatifs pour la célébration des 62 ans d’Indépendance de la Côte d’Ivoire, soldats arrêtés au Mali à la Une.
Le quotidien gouvernemental Fraternité Matin s’illustre en premier et titre « Les populations attendent des décisions fortes », en allusion au message que le Président Alassane Ouattara adressera le 6 août à la nation.
L’Essor Ivoirien évoque également le message du président de la République attendu le 6 août: “Voilà les probables articulations de l’adresse du président Ouattara”, croit savoir le journal, ajoutant en sous-titre “un discours d’espoir attendu par les Ivoiriens”.
Quant au quotidien Le Patriote, proche du pouvoir, il affiche à sa Une « ça grouille déjà à Yakro », précisant que le préfet de la région du Bélier, Brou Kouamé, lance un appel à la mobilisation.
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Le Jour Plus barre à sa Une: “Fête de l’Indépendance: le Grand hommage de la nation à Houphouët-Boigny !”.
Quant au journal d’opposition, Le Nouveau Réveil, il annonce dans sa manchette la présence des “3 grands” à la célébration de l’Indépendance. “Réconciliation, le vrai déclic attendu le 6 août !”, barre le journal proche du PDCI-RDA à sa une, faisant allusion au discours du chef de l’Etat et à la présence des présidents Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo à cette fête nationale.
Concernant d’autres sujets, notamment l’affaire des 49 soldats arrêtés au Mali, L’Essor Ivoirien annonce que “Des jeunes exigent leur libération avant le 7 août 2022”, tout en soulignant en sous-titre que ces jeunes déclarent que “C’est une prise d’otage”. “Nous allons prendre nos responsabilités”, lancent-ils.
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Le Quotidien d’Abidjan revient sur “l’affaire de drogue”, affichant “Comment la Côte d’Ivoire se livre au suicide”.
L’Héritage, journal d’opposition, fait un retour au passé et s’interroge sur l’assassinat de Balla Kéita, un ancien ministre du président Houphoüet-Boigny et conseiller du général Guéi Robert, décédé le 2 août 2002 au Burkina Faso, en titrant “Qui a donc assassiné le docteur Balla Kéita?”, 20 ans après.
