Tricheries examens scolaires 2024 en Guinée : le parquet met fin aux réseaux organisés sur WhatsApp

Des candidats du BAC 2022 en Guinée arrêtés pour fraudes
Des candidats du BAC 2022 en Guinée arrêtés pour fraudes © Crédit photo DR

Suite à la découverte de réseaux de fraudes aux examens scolaires 2024 en Guinée organisés sur WhatsApp, le parquet a pris des mesures fermes pour mettre fin à ces pratiques illégales.

Ces réseaux, qui sévissaient pendant les périodes d'examens nationaux, proposaient aux candidats des corrigés et des informations privilégiées en échange d'argent.

Le ministère de l'Enseignement Pré-universitaire et de l'Alphabétisation a porté plainte auprès du parquet, qui a immédiatement instruit la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) de diligenter une enquête.

Plusieurs arrestations déjà effectuées

Grâce à une action rapide et efficace, la DCPJ a déjà procédé à l'arrestation de plusieurs individus impliqués dans ces réseaux de fraude. Ces personnes encourent de lourdes peines privatives de liberté, conformément au code pénal et à la loi L 037 portant cybersécurité et protection des données à caractère personnel.

Le parquet tient à rappeler aux candidats aux examens nationaux que la tricherie est une infraction grave qui peut avoir des conséquences lourdes. Il appelle les candidats à refuser toute implication dans ces réseaux frauduleux et à se concentrer sur leurs études pour réussir honnêtement leurs examens.

La rédaction vous conseille

Le parquet et les autorités compétentes prennent toutes les dispositions nécessaires pour garantir l'intégrité des examens et sanctionner sévèrement les auteurs de fraude. Cela inclut l'identification des plateformes frauduleuses sur les réseaux sociaux et la poursuite des personnes qui les gèrent.

Les derniers articles sur YECLO

Written by Colombe Blanche

Homme en prison

Fraudes examens scolaires 2024 sur WhatsApp : Plusieurs arrestations et des peines lourdes annoncées

Vladimir Poutine, président de la Russie

Moscou accuse Washington d’avoir franchi la ligne rouge après l’attaque ukrainienne à Sébastopol et promet des représailles